On touche ici le mystère de la création chez l'artiste, et celui de la transmission de l'émotion au spectateur. En ce qui me concerne,Je n'ai pas su d'abord, voir un quelconque côté farceur dans cette oeuvre, mais l'évidence m'est apparue dès que j'ai compris qui était le clown, et quel est le rôle qu'il peut avoir auprès de l'artiste. Mais, dans ces conditions peut-on toujours affirmer que l'oeuvre en question est un pur PatLeugh, alors que le résultat final a étonné jusqu'au sculpteur lui-même ? Dernier étonnement, je me souviens des pieds de Madame PatLeugh comme devant plutôt orner des escarpins que des croquenots sortis de l'Odet lors d'une partie de pêche.